Rando au Doubs en 2002
Un site internet peut aussi mettre en avant certaines archives. Ici, notre première « rando » famille, la première d’une longue liste ! :-)
Texte original d’août 2002…
Rando 1
Saut du Doubs – La Rasse – Charmauvillers – Goumois – les Bois…
Une première « rando » pour se faire les jambes et pour apprendre (un peu) le fonctionnement de la randonnée en famille (sauf Lisa). [Lisa était chez les cousins pour garder
Résumé
Étapes : 3 • env. 3 x 18 à 20 km • Dénivelé peu important mais éprouvant pour le rythme • 6h30 ; 7h00 ; 5h30 • Météo : pluie j1 puis beau !
Détails étapes1ère étape : Villers-le-Lac -> Saut du Doubs en bateau, puis le long du Doubs j-> La Rasse
2ème étape : La Rasse -> Les échelles de la Mort -> La Verrerie (erreur de parcours) -> La Goule -> (sur la route, pente à 20 % au minimum) Charmauvillers puis auto-stop pour 4 km jusqu’au gîte de Vanney !
3ème étape : Vanney -> Talus -> La Verrerie -> La Goule -> Chemin du Facteur -> Les Bois – retour en train j-> Le Locle
Particularités marquantes
La météo n’est pas tout de suite clémente mais le couvert végétal très abondant nous protège des gouttes, ouf… La flore est incroyable (surtout les mousses partout partout…) et la « petite » faune émerveille les enfants : écureuil, oiseaux (dont un blessé), guêpes (dont une « piquante » par 3 fois), hérons, chenilles, limaces (brune et orange version « fluo »), escargots de Bourgogne, canards, cygnes… MAIS PAS de moustiques… OUF. Par endroits le Doubs distille un calme très particulier et ressourçant.
Au gîte de Vanney nous sommes accueillis par deux chiens, une chèvre un peu forte (je suis poli) et un poney… Sympa. Le GR 5 est, quant à lui, bien marqué mais très ramifié par moments.
Problèmes ou difficultés.
Le fait de ne pas avoir de cartes vraiment adéquates pose très vite des problèmes : fausse appréciation des distances et des dénivelés, erreur qui nous coûte env. 2 h le 2ème jour (détour par La Goule alors qu’un chemin direct existait pour aller à Vanney !) ; sans la bonne âme qui nous met tous dans sa fourgonnette pour les derniers 4 km qu’aurions-nous fait ? Le 3ème jour encore des difficultés pour trouver le chemin de Talus et ensuite la remontée sur Les Bois se fait au petit bonheur la chance, ce qui peut être sympa mais…
Les chemins très humides nous font regretter de ne pas avoir de guêtres. Les pantalons longs sont un « plus » pour passer dans les couloirs d’orties !
Il nous manque des pansements occlusifs pour les chutes intempestives ! Décidément Hugo collectionne les bobos.
La chaussure de Zénia baille dès le 2ème jour. Une sangle nous permet d’improviser une fixation histoire de ne pas perdre la semelle. Heureusement qu’il n’y a que 3 étapes !
Les sacs à dos sont douloureux pour tous : le matériel n’est vraiment pas adapté à la rando ! Il faudra y remédier… Question réserve d’eau c’est limite à chaque fin d’étape…
Ambiances et divers…
La Rasse : son hôtel est tenu par un suisse-allemand fort sympatique. Les röstis sont bonnes, l’ambiance musique classique très appréciable. Nous, les grands (avec les deux aînés), jouons encore pour la forme un « Café international » mais les baillements nous submergent. Les chambres sont charmantes, Zénia dort dans un lit antique mais « dur » selon elle (le crin…).
Le gîte de Vanney est remarquablement bien tenu. Les… röstis (le Jura français serait-il la patrie des röstis ?) du soir sont excellentes et le déjeuner est copieux… Nos « sacs à viande » s’avèrent très appropriés. Peut-être qu’un plan d’accès au gîte…
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